Villes éternelles
Samedi 8 février 2025, 20 h
au Théâtre Alphonse-Desjardins
(Formule cabaret)
Les quatre musiciens du Masmoudi Quartette, dirigé par l’oudiste Mohamed Masmoudi, sont reconnus pour leur polyvalence, leur sensibilité et leur virtuosité. Ils nous présentent Villes Éternelles, où la longue et riche tradition de la musique orientale imprègne de ses modes et de ses métriques chacune des compositions de Masmoudi. Traversées d’improvisations qui empruntent tantôt au langage du jazz, tantôt aux subtilités classiques, saupoudrées d’inflexions klezmer et de rythmes tango, les œuvres de Masmoudi témoignent de la richesse d’une vie commencée en Tunisie et poursuivie un océan plus loin, avec une foule d’influences ratissées en chemin, dans une démarche de réelle ouverture et d’expérience.
Artistes :
Mohamed Masmoudi, direction artistique & oude
Guillaume Martineau, piano
Rémi-Jean Leblanc, contrebasse
Gabriel Paquin-Buki, clarinette
Traversées
Samedi 26 avril 2025, 20 h
au Théâtre Alphonse-Desjardins
(Formule cabaret)
Éternels oiseaux migrateurs, Kiya Tabassian, maître du sétar et défricheur de mémoires, et Ablaye Cissoko, griot de Saint-Louis du Sénégal et maître de la kora sillonnent les scènes du monde ensemble depuis dix ans. Ces libres penseurs et voyageurs font du monde leur jardin. Ils nous reviennent avec un programme qui est le fruit d’un dialogue et d’une communion exemplaires, la rencontre des cordes et des voix qui rappellent aux sources la beauté d’être. Puis, la traversée conjointe des lieux communs de l’imagination, comme une longue respiration face à la marche inexorable du monde et du temps.
Artistes :
Kiya Tabassian, sétar et chant
Patrick Graham, percussions
Ablaye Cissoko, kora et chant
Étienne Lafrance, contrebasse
Constellation de cordes
Samedi 16 novembre 2024, 20 h
au Théâtre Alphonse-Desjardins
(Formule cabaret)
Sur la toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et les instruments de l’ensemble se mélangent et se superposent pour tisser une œuvre toujours unique, recréée sans cesse par les improvisations au inanga de Deo Munyakazi. Le résultat est une étonnante constellation de morceaux, tous uniques, et qui prennent un nouveau sens ensemble. Les chants rwandais se superposent magnifiquement aux mélodies instrumentales du théorbe de Kerry Bursey et du ghaychak de Reza Abaee ajoutant une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que proposent Janelle Lucyk.
Artistes :
Deo Munyakazi, inanga et chant
Janelle Lucyk, chant et violon
Kerry Bursey, luth et théorbe
Reza Abaee, ghaychak